BERCEUSES (Je n’aurais sans doute pas osé la faire figurer ici, si je n’en avais retrouvé le texte dans les Traditions Populaires Alsaciennes de Honel Meiss.) Schlof, Bobele schlof, Dein Pappe het die Schof Dein Mamme het die Lämerlich Schlof, Bobele schlof.BERCEUSES ________________________________________________________________
La berceuse http://suggest1.free.fr/8bschlofmaynkind.mp3 (klic klic)
suggest.1
lola
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Ven 11 Déc - 15:59
merci ,merci suggest 1 entre le petit oiseau flegelet et mayn kindeley je suis aux anges je vais dormir comme un ange mon pere me les chantait que d'emotions
suggest.1
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Mer 16 Déc - 13:47
Rojinkes mit Mandlen Raisins et amandes http://suggest1.free.fr/raisin.mp3 (klic klic) (oriental?) Avec l’accent Lithuanien?? http://doiop.com/78k603 (klic klic)
Dans cette chanson là la maman dit ? (C’est le passage d’une pièce de théâtre musical) La maman prophétise plutôt que son enfant toujours un garçon, sera un très grand commerçant, 'A soykher' comme d’autres se devront d’être avocat, ou médecin, Toujours pas de présence du père : Par contre c’est une situation quelque peu anxiogène, génératrice d’anxiété Il a intérêt à réussir le bébé :
Les paroles https://2img.net/r/ihimizer/img63/2008/raisin2.jpg (klic klic)+loupe
Le moment privilégié de la berceuse crée une atmosphère de calme et de méditation, aussi bien pour l’enfant que pour l’adulte. La mère réfléchit sur le passé, le présent et l’avenir, elle compare sa situation à celle de l’enfant. Elle lui annonce ce qui l’attend, à la lumière de ses propres expériences : les difficultés de la vie, les désirs non réalisés. Elle exprime aussi sa déception sur la morale de la société, avec laquelle l’enfant sera confronté, et son souci que l’enfant ait un avenir meilleur que le sien.
Suggest.1
lola
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Mer 16 Déc - 20:33
Suggest.1 que ne donnerais je pas pour ecouter encore avec la voix de mon pere Zal ces merveilleuses berceuses qui ont ete chante aussi par les Barry Sister peu importe l'accent! Barry Sisters - Rozhinkes mit Mandlen
lola
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Mer 16 Déc - 20:44
Barry Sisters - ViAhin Zol Ikh Geyn
lola
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Mer 16 Déc - 20:47
https://www.youtube.com/watch?v=K9Qz0pD0koU
lola
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Mer 16 Déc - 20:52
Barry Sisters - Yingele Nit Vain (Little Boy, Don't Cry)
ne pleure pas mon petit garcon
lola
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Jeu 17 Déc - 10:10
L’origine du mot berceuse
L’origine du mot berceuse vient probablement du terme gaulois "berz", action de bercer et relevé au 12ème siècle
La berceuse est rarement construite sur une dimension culturelle, mais plutôt biologique. Comme une ritournelle, elle se décline à conduire progressivement le bébé de l’état de veille vers le sommeil et ce, selon le tempérament de l’enfant et pour certains au niveau d’excitation où il se trouve, ralentir la berceuse dès qu’un certain apaisement est perçu. L’intonation plus que les paroles exprime l’émotion et rassure l’enfant. La tradition orale l’emporte sur l’écrit et se perpétue de mère en fille.
a suivre
lola
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Jeu 17 Déc - 17:02
Au Maghreb et au Moyen-Orient, les allusions à la nuit sont rares. Contrairement aux berceuses françaises, la nuit représente l’inquiétude. Elle est plutôt réservée aux chansons d’amour pour adultes. Les berceuses évoquent plutôt les jardins, le paradis, la lune, les gazelles, la rose, le lys, l’eau, les parfums, etc.
Berceuse tunisienne
ani Nani, le sommeil vient Ta mère est comme la lune Ton père comme les étoiles Et toi, la plus belle rose du jardin Ta mère est en argent, ton père en cuivre.
Berceuse marocaine
dors, mon bébé Jusqu’à ce que le repas soit cuit Et s’il n’est pas cuit Celui des voisins le sera Dors, mon bébé Jusqu’à ce que ta mère arrive Le pain est sur la table Les bonbons sont sur le plateau.
Berceuse française
oucement, doucement Doucement s’en va le jour Doucement, doucement À pas de velours.
La rainette dit Sa chanson de nuit Et le lièvre fuit Sans un bruit.
Doucement, doucement Doucement s’en va le jour Doucement, doucement À pas de velours.
Dans le creux des nids Les oiseaux blottis Se sont endormis Bonne nuit.
Berceuses iraniennes
Deux auteurs iraniens Gadamali Sarâmi et Mahnâz Rezaï se sont intéressés à la signification des berceuses. Voici leur analyse extraite de "La revue de Téhéran". "Les berceuses sont généralement basées sur l’admiration de la mère pour son enfant.
comme tes mains sont belles Tes lèvres sont comme un bouton de fleur Tes yeux sont très beaux.
Des promesses sont faites au bébé, le rythme des vers est le même, seul le contenu diffère.
i tu dors tôt, si tu es sage Je t’achèterai un bracelet ou une boucle d’oreille en or.
Dans les berceuses villageoises, les promesses sont différentes.
Tu seras un bon cultivateur Tu auras un grand champ Tu seras chef de village Tu auras un troupeau de moutons et de vaches.
Dans le passé, les mères ne travaillaient pas hors de la maison. Parfois les plaintes étaient confiées à l’enfant.
ton père est absent On ne sait pas ce qui nous arrivera On ne sait pas s’il peut pêcher un poisson Et l’apporter à la maison On ne sait pas s’il peut vendre le bois qu’il a fendu Nous n’avons pas, toi et moi, D’étoile dans le ciel.
Dans ce cas, la mère, qui sait que l’enfant ne comprend rien à ce qu’elle dit, parle avec elle-même. La berceuse, cette littérature miraculeuse, apaisante et somnifère est la première littérature pour l’enfant. Il profite de sa forme, de son rythme et de sa musicalité bien avant d’apprendre à parler et de commencer à marcher".
Dernière édition par lola le Jeu 17 Déc - 17:25, édité 1 fois
lola
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Jeu 17 Déc - 17:04
Berceuses juives (Yiddish) de l’Europe de l’Est
Par Mireille Natanson, Docteur en musicologie. (Allemagne)
Près de soixante ans après la Shoah, les berceuses yiddish nous chantent aujourd’hui encore l’histoire et la culture d’une communauté disparue. Leur contenu sociologique, psychologique, éducatif et leur couleur musicale spécifique en font un trésor exceptionnel. Dans cette culture populaire, essentiellement orale, les mots portent en eux une force puissante et sont l’outil de la transmission. Ils traduisent les émotions, surtout dans les chansons, à plus forte raison dans les berceuses.
Les objets ici nommés forment des rimes amusantes avec les parties du corps.
ors, dors, dors, ton père va aller au village Il te rapportera une pomme et ta tête sera guérie. Il te rapportera une noix et ton pied sera guéri. Il te rapportera un canard et ta main sera guérie. Il te rapportera un lapin et ton nez sera guéri. Il te rapportera un oiseau et tes yeux seront guéris.
Souvent les promesses et les menaces alternent, selon que la mère sait intuitivement doser.
ors, mon enfant, dors, Dors, mon enfant, dors. Là-bas dans la ferme Il y a un mouton blanc Il veut mordre mon enfant. Le berger arrive avec son violon Il rassemble les moutons.
Dans les berceuses, les cadeaux qu’on promet à la fille sont alors du linge, des vêtements, une bonne dot, voire même une robe de mariée. Sa vie future lui est décrite, avec le travail de la maison et des enfants. Souvent, elle devra gagner de l’argent en travaillant dans une boutique ou en faisant de la couture chez elle, car son mari qui étudie longtemps ne rapporte rien à la maison. L’exemple suivant montre les préoccupations de la mère pour l’avenir de sa fille :
u auras une bonne réputation, Tu sauras prier, lire, et écrire en yiddish, Lire des livres en yiddish, Coudre et broder des foulards, Tisser des foulards Et donner à tous de bons conseils. Le fiancé de Sarah sera un sage du Talmud, Un érudit aux grandes facultés. Le fiancé de Sarah saura résoudre des problèmes savants, Il saura tous les résoudre. A son mariage, il tiendra un discours, Il s’avancera avec dignité vers le baldaquin de mariage Et il plaira à tous les invités.
(Si vous me le permettez, je fais digression sur le sujet. Pour compléter le souci de la mère envers ses filles plus particulièrement, je rappelle cette berceuse insolite, à consonance chrétienne et qui a bercé notre sommeil ; encore aujourd’hui, les mères juives tunisiennes prétendent fredonner cette berceuse qui s’est immiscée, on ne sait comment, dans notre culture judéo-arabe. V. Scemama-Lesselbaum.)
odo Ninette Sainte Elisabeth Endormez-moi cette enfant Jusqu’à l’âge de quinze ans Quinze ans se sont passés Il faudrait la marier Une chambre pleine d’amandes Un marteau pour les casser Et Ninette pour les manger.
A la fin du 19ème siècle et au début du 20ème siècle on assiste à un changement de contenu et de tonalité dans les berceuses qui correspond à un appauvrissement de la population juive, vouée souvent à une existence précaire.
"Garde tes larmes" de Mordechaï Gebertig (1877-1942)
e pleure pas, ne pleure pas, petit orphelin, Garde tes larmes même si tu es malheureux. La vie ne t’apportera que des souffrances, C’est pourquoi il n’est pas bon que les larmes manquent. Garde tes larmes comme des diamants. Tu auras un jour bien besoin Quand ton cœur sera prêt à déborder Laisse couler de tes yeux une larme.
Quand l’étau se resserre sur les communautés des Juifs des pays de l’Est, menacés dans leur existence même par les persécutions, les berceuses qui nous sont transmises restent très nombreuses. Comme si l’enfant devenait l’objet particulier de l’attention, des soucis, de la pitié de la mère. Elles n’ont pas le droit de garder leurs bébés avec elles. Ceux-ci sont cachés et les mères chantent le danger : l’enfant doit se taire sous peine d’être découvert.
Mordchai Gebirtig est né à Cracovie en Pologne le 4 mai 1877. Il est mort au ghetto de cette même ville le 4 juin 1942 abattu d’une balle dans la nuque pour avoir refusé l’ordre de déportation. Nul ne peut rester insensible à l’émotion qui se dégage du Ponar lied : "schtiler, schtiler". Personnellement, je relèverai cet extrait qui concerne plus particulièrement l’enfant. La "Chanson de Ponar" évoque l’assassinat de 70 000 juifs du ghetto de Vilnius, la Jérusalem du Nord, dans la forêt de Ponar situé à huit kilomètres de Vilnius en Lituanie. Schtiler veut dire : silence, demandé aux enfants dans les camps.
ilence, silence des sources éclosent dans mon cœur. Jusqu’à ce que les portes soient fermées Nous devons être muets. Ne te réjouis pas mon enfant, ton rire pourrait nous trahir. L’ennemi ne doit pas survivre au printemps, Pas plus qu’une feuille ne survit à l’automne. Laisse les sources couler tranquillement, Sois silencieux et espère Que la liberté ramènera ton père. Dors, mon enfant, dors, Comme la Wilia libérée, Comme le renouveau des arbres, C’est la lumière de la liberté Qui illumine ton visage.
*
Berceuse Yiddish (texte transmis par Henri Valachman)
ans un coin brûle un petit feu Et dans la maison il fait chaud (bis) Dans un petit coin est assis un petit rabbin Qui apprend guimel aleph bet (bis) Qui apprendra le mieux, gagnera un drapeau Guimel aleph bet (bis)
lola
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Jeu 17 Déc - 17:10
Berceuses particulières
"Fais dodo, Colas mon petit frère" 1ère version
ais dodo Colas mon petit frère Fais dodo tu auras du lolo
Maman est en haut Qui fait des gâteaux Papa est en bas Qui fait du chocolat
Refrain
Si tu fais dodo Maman vient bientôt Si tu ne dors pas Papa s’en ira.
"Fais dodo, Colas mon petit frère" 2ème version
ais dodo Colas mon petit frère Fais dodo tu auras du lolo
Maman est en haut, Qui fait du gâteau, Papa est en bas, Qui fait du chocolat
Refrain
On fait la bouillie Pour l’enfant qui crie, Et tant qu’il criera Il n’en n’aura pas.
Pour terminer avec ce genre, assez particulier, de berceuses, voici l’une des plus fameuses du poète russe Mikhaïl Lermontov (1814-1841) dédiée, apparemment, aux enfants et dont le plus célèbre passage est le suivant : "Le méchant tchétchène rampe sur la berge, aiguise son couteau". Les passages quelque peu guerriers et qui n’ont rien à voir avec une berceuse ne sont pas chantés dans cette version. Néanmoins, ils sont fréquemment cités.
ors, mon enfant, dors, mon joli, Do-do, do-do. Doucement la lune se penche Sur ton berceau. Je vais te dire des légendes, Chanter pour toi. Mais dors, ferme tes petits yeux, Do-do, do-do.
terminons par un sourire
Berceuse vénézuélienne chantée... sur l’hymne national !
ors, mon enfant, car j’ai à faire Laver les langes, te donner à manger. Dors, mon enfant, car j’ai à faire Laver les langes et te donner à boire Cet enfant veut que ce soit moi qui l’endorme, Que l’endorme la mère qui l’a porté Cet enfant veut que ce soit moi qui l’endorme Que l’endorme la mère qui l’a porté.
Dernière édition par lola le Jeu 17 Déc - 17:27, édité 2 fois
lola
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Jeu 17 Déc - 17:21
Bercer dans la souffrance
Quand l’étau se resserre sur les communautés des Juifs de l’Est, menacées dans leur existence même par les persécutions, les berceuses qui nous sont transmises restent très nombreuses. Comme si l’enfant devenait l’objet particulier de l’attention, des soucis, de la pitié de sa mère. Et malgré les circonstances, l’enfant doit être bercé pour s’endormir.
Dans les ghettos placés sous la surveillance des nazis, les enfants qui ne peuvent pas travailler sont considérés comme des bouches inutiles, donc les mères n’ont pas le droit de garder leurs bébés avec elles, elles sont menacées de mort si elles mettent au monde des enfants. Ceux-ci sont donc cachés et les mères chantent le danger : l’enfant doit se taire sous peine d’être découvert.
Alors les thèmes traités changent : le père a disparu, les frères et sœurs ont disparu. Les personnages traditionnels sont remplacés par des files de déportés. Il n’y a plus de moutons, mais des soldats, plus de promesses de friandises, mais la faim. La symbolique de la nature, très présente, permet d’espérer qu’il y aura un printemps, une liberté. Et la mère mobilise encore les forces de l’enfant pour cet avenir.
Autrefois, la situation familiale intacte garantissait l’avenir de l’enfant, sa sécurité et son sommeil. A l’époque des camps de concentration, les berceuses ont encore la tâche d’apaiser l’enfant et la personne qui chante, au moins pour un moment. La détresse est présente, et la désespérance, car l’avenir ne peut même pas être rêvé et la résignation s’installe.
Devant l’injustice de la persécution des enfants, le thème de la vengeance apparaît, comme un moteur de survie : « Quand tu seras grand, tu vengeras notre sang ».
Seront-ils jamais grands ?
Tous ces éléments se retrouvent dans ce remarquable Ponar-Lied «schtiler, schtiler »[ qu’il me faut citer en entier pour conclure, du moins dans sa traduction.
Silence, silence, il faut se taire.
Des tombes ont poussé là-bas,
Elles ont des reflets verts et bleus :
Les ennemis les ont plantées.
Bien des chemins mènent à Ponar,
Mais aucun n’en revient.
Ton père a disparu
Et avec lui notre bonheur.
Silence, mon enfant, ne pleure pas, mon trésor,
Pleurer ne sert plus à rien.
Les ennemis veulent notre malheur,
Il n’y a rien à comprendre.
Les mers ont des rivages,
Même les prisons ont des limites,
Mais dans notre souffrance
Aucune lumière ne filtre.
Le printemps s’installa dans le pays
Puis vint l’automne.
Chaque journée est remplie de fleurs
Mais chez nous, c’est la nuit.
L’automne fait luire les troncs de ses rayons dorés,
En nous fleurit le deuil.
Une mère est assise, solitaire, l’enfant vint à Ponar.
La Wilia entravée par des liens
Soupire dans ses souffrances,
Elle brise la glace et se précipite à travers le pays
Pour se jeter dans la mer.
Alors disparaîtra l’obscurité,
Un soleil percera les ténèbres.
Cavalier, viens vite,
Ton enfant t’appelle.
Silence, silence, des sources éclosent dans mon cœur.
Jusqu’à ce que les portes soient fermées
Nous devons être muets.
Ne te réjouis pas, mon enfant, ton rire pourrait nous trahir.
L’ennemi ne doit pas survivre au printemps,
Pas plus qu’une feuille ne survit à l’automne.
Laisse les sources couler tranquillement,
Sois silencieux et espère
Que la liberté ramènera ton père.
Dors, mon enfant, dors,
Comme la Wilia libérée,
Comme le renouveau des arbres,
C’est la lumière de la liberté
Qui illumine déjà ton visage.
Nul ne peut rester insensible à l’émotion qui se dégage de ce texte – et de sa mélodie - , même s’il y a une contradiction flagrante entre l’invitation au sommeil et le contenu tragique des paroles. Paroles et musiques d’un autre temps, d’un autre lieu, les berceuses yiddish nous touchent parce qu’elles évoquent tous les enfants du monde, ceux qui ont été, et les nôtres, et nous-mêmes…
La plupart des textes des berceuses citées sont empruntés aux deux ouvrages suivants :
- Kempin D. (1989). « rozhinkes mit mandeln », Jiddische Wiegenlieder als Spiegel jüdischen Lebens. Darmstadt: Akademie für Tonkunst.
- Tahir-Ul-Haq I. (1978). Das Lied der Juden im osteuropäischen Raum. Frankfurt am Main: Philosophische Fakultät.
suggest.1
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Jeu 17 Déc - 18:15
La berceuse c’est toujours un dialogue tout à fait personnel, la symbiose entre la mère et l’enfant : Le père là encore est absent et c’est somme toute une relation normale : Cependant vous l’entendrez si vous êtes attentif ? Il y a des menaces si le bébé ne s’endort pas ;
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Jeu 17 Déc - 20:57
MERCI MES AMIS ET JE ME RENDS COMPTE APRÈS COUP QUE QUELQU'UN EST PASSE VOLER VOTRE INSPIRATION POUR ALLER LA POSER SUR UN AUTRE FORUM.
breitou
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Jeu 17 Déc - 21:23
VIVE LOLA ET SUGGEST.
lola
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Ven 18 Déc - 11:20
Breitou le sujet est bon ,sinon il ne serait pas copie alors tant mieux,
suggest.1
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Ven 18 Déc - 11:35
...............
MERCI MES AMIS ET JE ME RENDS COMPTE APRÈS COUP QUE QUELQU'UN EST PASSE VOLER VOTRE INSPIRATION POUR ALLER LA POSER SUR UN AUTRE FORUM _______________________________________________________ Des noms ??? Quoique c’est la rançon de la gloire que de se faire copier ! C’est très classe ! To day représentation exeptionnelle! C’est la tata de suggest.1 ‘ESTHER’ qui récite Cependant que c’est Raphaële qui chante
Les paroles klic sur agrandir cette image............... ...........
Suggest.1
lola
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Ven 18 Déc - 11:40
merci suggest1 quelle douceur cette jolie voix!
suggest.1
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Dim 27 Déc - 19:25
a
dans un coin brûle un petit feu Et dans la maison il fait chaud (bis) Dans un petit coin est assis un petit rabbin Qui apprend guimel aleph bet (bis) Qui apprendra le mieux, gagnera un drapeau Guimel aleph bet (bis) ___________________________________________________
Bien que cette chanson ne soit pas à priori une berceuse La musique et les paroles n’en sont pas moins très attachantes : Il s’agit du Rabbin qui fait la classe : Qui enseigne l’Aleph Beth
Ce qui prouve que de tous temps les petits enfants juifs ont su lire et écrire : Ce qui est loin d’être le cas pour toutes les sociétés ;
N’est ce pas Charlemagne ? Donc je pose chansons paroles et traduction :
Sujet: Re: Les Berceuses de lola Dim 27 Déc - 19:55
je me souvenais de cette petite berceuse apprise dans mon enfance ,mais pas les paroles des annees ont passe ,j'aurais bien voulu en chanter a mes petits enfants mais ils sont trop loin