Il était une fois RKIKOTOPOULOS,
Bien que son nom soit grec, Rkiko…. Est gréc quand même avec un peu de plasma goulettois et une moitié d’ADN tunisienne.
Il
vivait il y a fort longtemps dans un pays où les joutes politiques
hasardeuses étaient sujettes à des querelles sans fin par la faute de
cette Mââda. (enflure)
Tous les villageois les RKIKTOS étaient
de grands commerçants et ils commercialisaient leurs marchandises aux
villageois voisins. La ville de Rkika était connue pour sa soierie de
Chine et dinde.
Ils étaient tous installés dans les souks et
chacun d’eux rivalisait d’ingéniosité pour écouler leurs marchandises
dans une atmosphère conviviale depuis des lustres.
Arrive donc un jour ce RKIKO…..LOS richissime commerçant qui s’installe dans un des souks.
Il
ouvre un grand magasin d’étoffes, très luxueux et bien achalandé, il ne
tarde pas à se faire une bonne clientèle étrangère. Mais là, où il
excelle c’est dans les bons conseils qu’ils donnent à droite et à
gauche au point qu’il se fait une renommée. Une bonne renommée. Son
magasin est couru par toutes les cancanières qui colportent rumeurs et
méchancetés. Notre RKIKO…LOS boudina (celui qui tend l’oreille) écoute
et enregistre tout en coupant ses draps à ces vénus de l’opprobre.
Notre
homme malicieux, halbiya mascouca (une gargoulette qui laisse fuir
l’eau) commence par ses rapportages à foutre la zizanie entre les
anciens commerçants, tant et si bien qu’au bout de qqs mois, la
méfiance s’accapare de ses gentils voisins. Du coup, chacun toise
l’autre avec méfiance et adieu les échanges amicaux et les anecdotes
truculentes entre eux.
Par tants de rumeurs, le souk est déserté et voilà notre RKIKO…LOS seul à se faire chier la vie.
Avec qqs ‘amis’ qui le ménagent mais qui n’ont aucune sympathie pour lui.
Seule RKIKATOPOULAS lui voue le culte de l’argent.
Bref,
le ROI IMBU, loin de contrôler son royaume n’a que faire de ce dernier
au point qu’il se désintéresse totalement de ces administrés partis
ailleurs et livrés à leurs conneries.
Si vous voulez connaitre le vrai nom de ce pays, il suffit de me le demander gentiment.