LE THEATRE DE BREITOU
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 COUCOU...! C'est CLAIR...!

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breitou

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MessageSujet: COUCOU...! C'est CLAIR...!   COUCOU...! C'est CLAIR...! EmptyDim 25 Oct - 13:48


AU THEATRE CE SOIR.

Paris le 31/07/2008.

Tous les événements faits narrés et prénoms des acteurs cités dans cette comédie sont imaginaires.

La pièce qui vous est présentée ce soir est l’œuvre de Monsieur Albert Siméoni de la Comédie Breitouna.

Dans les principaux rôles.

Madame la Comtesse Hélène de la Coutière...........Poupée.
Monsieur le Comte Georges....................................Camus Bouahniq.
Madame la Comtesse Gertrude...............................Lala.
Monsieur le Majordome Eustache..........................Braham.
Monsieur Le Comte Camus....................................Breitou le troubadour.
Mademoiselle Claire...............................................Gisèle Cohen.
Monsieur Le Comte Vivi........................................Vivi Bouhniq alias el diavolo.
Madame la Comtesse Noémie................................Michka.
Madame la Comtesse Jeanne..................................Esther Bellaiche.
Les enfants Amandine, Christelle, Bertrand Freddy, Anastasia, Anne, Bernard, Damien, Siegfried font partie de la troupe de jeunes de la Comédie Française.

COUCOU.... ! C’est Clair.




Pièce en deux actes.

Acte I. Scène I.

Madame la Comtesse Hélène de la Coutière, 88 ans née Chevillard épouse du Comte Georges de la Coutière sont de vieux châtelains Ils vivent dans leur château en Jolie -En Braie à quelques kilomètres au Sud de Paris.

Madame la Comtesse rentre toute essoufflée dans le salon.
Son mari Georges 95 ans est assis sur le fauteuil. Il lit THE GARDIEN.

‘....Ah enfin vous voilà, sans nouvelles de vous, je m’inquiétais... !’ Lui.
‘...Mais Georges cela ne fait que deux heures que je me suis absentée, vous ne pouvez plus vous passer de moi ... ! Et que peut-il arriver à une vielle dame comme moi...?’
‘...Et bien non... ! Je ne peux me passer de vous... !’
‘...Je me rafraichi et je suis à vous... !Ah ce Paris tout en chaleur... !Attendez ne partez pas... ! Je reviens... ! Et pas quittés d’une semelle... !’
‘... Mais où donc voulez vous que j’aille... ! Cela fait plus de 75 ans que nous nous côtoyons... !’
‘...Mais Georges vous avez votre temps de liberté non... ?’
‘...Oui, le temps de promener les chiens dans le parc pendant que vous, vous avez latitude à vous distraire... !’
‘...J’ai l’impression d’avoir déjà entendu cela... !’
‘...Allez donc vous rafraichir... !’

Elle s’absente quelques minutes et revient auprès de son mari fumant le cigare.

‘...Vous voilà caché derrière un nuage à présent... ! Où en étions-nous... ?’
‘...Vous étiez essoufflées.... !’
‘...Oui mais avant... ?’
‘...Avant... ? Vous rentriez... !’
‘...Donc après... ! AprèEEEEs... ?’’
‘...Après... ? Vous vous rafraichissiez.... !’
‘ ..Et entre les deux je faisais quoi.... ?’
‘...Un brin de causette... ! Après votre douche, un nuage set mêle entre nous.. !’
‘...Donc, je rentrais vous dites tout essoufflées, oui je m’en rappelle, j’étais chez votre sœur
Gertrude... ! Elle n’est plus d’actualité... !’
‘...Où ça... ?’
‘...Dans l’actualité... !’
‘....Que voulez vous dire.... ?’
‘...Elle perd la mémoire, elle a mit dix minutes pour me reconnaître... !’
‘...Reconnaitre qui.... ?’
‘...Moi enfin, je vous parle de votre sœur Gertrude... !’
‘...A son âge, 110 ans, pensez donc... !’
‘...Le médecin dit qu’elle va de mal en pis... !’ Elle.
‘...Vous parlez de son médecin, pas loin des 95 ans... !Un mathusalem... !’
‘...Mais non enfin, je vous parle de Astrubal... ! Que vient faire mathusalem ici... ?’
‘...Que voulez vous, ma sœur a toujours été conservatrice... !’
‘...Et bien figurez vous cher époux, il lui a prescrit des cachets... !’
‘....EncoOOOOre... ? Elle en ingurgite plus de 23 par jours, tous coloris... !’
‘...Mais ceux là sont nouveaux et miraculeux d’après ce qu’elle dit... !’
‘...Ah bon, allons donc, et peut-on savoir de quoi il s’agit... ! Ce miracle.... ?’
‘...De la D.H.E.A... ! Tout bonnement... !’ Elle.
‘...De la quoiIIII.... ?’
‘...Et puis des pilules rajeunissantes.... !’
‘...Vous plaisantez ma chère épouse.... ! Et quels sont ses projets... ?’
‘...Retrouvez une seconde jeunesse... ! Ces médicaments tous récents ont la faculté comme je vous le dis, de rajeunir... !’
‘...Gertrude rajeunir... ? On ne me l’a jamais dite celle là... !’ Lui.
‘...Et pourtant... ! Trois comprimés par jour pendant deux mois, vous fait gagner trois ans jeunesse... ! Vous vous rendez compte, votre sœur n’aura plus 105 ans mais 102 ans dans deux mois... ! Elle compte suivre un traitement de choc... !’
‘...Drôle de choc que nous aurons si dans un an de ce traitement, Gertrude retrouve ses 80 ans... !’ Lui.
‘...Mieux encore cher époux, en deux ans elle peut valoir 60 ans et même un peu moins... !’
‘...Vous plaisantez Hélène, si cela était vrai où irions nous... !’ Lui.
‘...Bien plus tard au caveau familiale... !’
‘...Mon Dieu et moi qui avait promis à notre chère maman sur son lit de mort qu’elle ne patientera pas longtemps toute seule dans la lumière de l’obscurité... !’
‘...Elle peut toujours se languir de vous encore quelques temps, elle a déjà son papa, monsieur le Comte, comme compagnie... !’
‘....Ils se sont toujours chamaillé s et je me demande si j’avais bien fait de les réunir ensemble... !’Lui.
‘....Sont t’ils déjà venus se plaindre... ? A vous... ?’ Elle.
‘...Ils n’oseront pas me perturber sachant que comme à mon habitude, de leur vivant déjà, je ne m’immisçais pas dans leurs querelles .... !’ Le Comte.
‘...Je pense qu’ils vous attendent de pieds fermes pour mettre les choses au point... !
Et aussi, que pour retarder l’échéance, nous devrions suivre le même traitement que Gertrude... !’ La Comtesse.
‘...Ahhhh fuir mes responsabilités en rajeunissant... ? Repousser l’échéance... ! Cela jamais, je suis un homme responsable et d’honneur, la fuite en arrière, ca jamaiIIIs... !’
‘...Bien, en tout cas si le résultat promet, je suivrai le traitement, mes petits chiots ont encore besoin de moi... !’
‘...Mais qui dit que vos chiots survivront lorsqu’ils s’apercevront que leur maitresse n’est plus celle qu’ils connaissent... !’
‘... Et bien, je vais les mettre en condition... ! Et pourquoi pas leur donner... !’
‘...De la D.H.E.A... ! Dragées Homéopathiques Energisants pour Animaux... !’
‘...C’est bien cela... !’
‘...Vous délirez.... ! Bon dites au majordome de préparez le souper... !’

A Suivre.


Acte II. Scène I.


Un an passe et un jour vers le midi....

‘....Monsieur le Comte... ! Comtesse... ! Il y a une jeune fille qui désire vous voir... !Elle attend dans le boudoir... !’
‘...Mais nous n’attendons personne Eustache... ?’
‘...Elle insiste et ne veut pas donner son prénom et nom... !’
‘...Vous avez fait rentrez une jeune inconnue .... ?’ Elle.
‘...Une surprise qu’elle veut vous faire, je n’ai pas osé m’interposer entre sa surprise et vous... !’
‘...Bon, dites lui de rentrer.... !’

Deux minutes plus tard....

‘..COUCOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU.... !’
‘...................................................................................’

Madame la Comtesse et Monsieur le Comte sont surpris par la visite inopinée de cette jeune fille maquillée à outrance, vêtue en mini jupe cuir et surtout coiffée à l’iroquois.
Avec des mèches bleues, rouges et jaunes. A la mode gautique.

‘...Qui êtes vous donc Mademoiselle... ?’ La Comtesse.
‘...Présentez vous donc Mademoiselle... ?’ Le Comte.
‘...CLAIIIIRE..... !’ Mademoiselle Claire.... ! Frérot.... !’
‘...FréroOOOOt.... ! Mais de quelle familiarité usez vous là...Mademoiselle Claire.... ?’
‘...Donc c’est réussit.... ! A ce que je devine.... ?’
‘...Qu’est ce qui a réussit... ? Soyez plus explicite... ?’ Le Comte.
‘...Je suis CLAIRE....Anciennement Gertrude.... !’ Frérot... !’
‘...Vous voulez dire que vous êtes ma sœur GERTRUDE....En Claire... ?’
‘...Tu es bien dur de la feuille mon cher frère... !’
‘...Mais Gertrude, ne me dites pas que vous avez .... !’ La Comtesse.
‘...Et bien oui, mon rajeunissement a réussi et voilà le résultat... ! Qu’en pensez-vous Georges... ?’

La Comtesse faille avoir un malaise. Mais son rang lui interdit une telle émotion.

‘...Ce que nous en pensoOOOns... ?’ Le Comte.
‘...Nous en pensons que effectivement votre transformation a réussi... !’ La Comtesse.
‘...Merci, et je ne compte pas m’arrêter là... !’
‘...Est -ce à dire.... Ma fille...Ô Chère sœur...?’ Le Comte.
‘...Retrouver après mon adolescence ma petite enfance... ! Mes 10 ans... ! Mais avec plus de liberté...!’
‘...Êtes-vous sérieuse Gertrude... ? La Comtesse.
‘...Claire.... ? Gertrude, c’est fini et puis je n’ai jamais supportée ce prénom, trop médiévale... !’
‘...Que comptez- vous faire à présent... ? Ger...Claire... ?’ La Comtesse.
‘...M’exploser, profitez, m’éclatez.... ! ME DEFONCEEEEEZ... !’
‘...Vous partez en guerre alors... ma sœur... ?’ Le Comte.
‘...VIIIIIIIIIIIIIIIIVRE CE QUE JE N AI PAS VECU IL Y A 85 ANS... !’
‘...Mais avez-vous oublié votre condition, votre titre... ? Que vont dire nos amis en vous voyant ainsi accoutrée... ? Comment vais-je vous présentez à eux... ?’ Le Comte.
‘...Je m’en balance ok, je vous ai VouUUs et je suis ravie... !Vieux certes mais Présents... !’
‘...Vous nous causez un grand trouble et nous ne savons pas gérer telle situation... ! Vous nous mettez dans une aberration... !’
‘...Tu me renies frérot de Comte... ?’
‘...Non, je n’ai pas dit cela mais avouez que cela nous surprend... !’ Le Comte.
‘...Et bien si tu ne veux plus de moi comme sœur, à cause de la honte que je pourrais faire à tes amis les séniles et baveux, je peux partir à l’aventure et je raconterai tout aux journaux... !’
‘...Nous ne sommes pas arrivés à de telles extrémités enfiIIIn... ! Laissez- nous le temps de réfléchir ... ! Le Comte.
‘...Bon, pas plus de deux heures et je reviens entendre la sentence... !’
‘...Mais promettez moi que vous vous arrêterez à vos 20 ans... !’
‘...Tu crains de laver mes couches plus tard ou de me balader en landau dans le parc... ?’
‘...Je crains surtout de n’être plus là pour m’occuper de toi... !Pour les biberons... !’
‘...Et les nurses c’est fait pour qui... ?’
‘...Encore des charges, mais nous n’en sortirons jamais... !’ La Comtesse.
‘...Ben dans ce cas, vous pouvez toujours m’abandonner dans une corbeille devant le parvis d’une église... !Monseigneur me recueillera... !’’
‘...Ô Seigneur, vous n’y pensez donc pas, bon, nous réfléchirons lorsque la situation se présentera... !’
‘...Oui, mais réfléchissez y vite, le temps joue en ma faveur... ! Vous aurez bientôt des cris de bébé Ici...... !’
‘...Et comment dois je vous déclarer aux services concernés... ? Sous quel nom de famille....?’
‘...Sous le nom de Claire Montmorency pardi.... !’
‘...Donc, si je comprends bien après avoir été ma sœur vous voilà devenue ma fille... ?’
‘...Et bien oui, ca vous gêne.... ?’
‘...Non... ! Euh ...Si... ! Si... ! Vous me voyez MoiIII, devant madame l’employée de la Mairie déclarer la naissance de ma fille alors que madame la Comtesse porte un âge respectable qui lui interdit de procréer... ?’ Le Comte.
‘...Qui vous dit que je ne peux plus procréer à mon âge Goerges... ?’La Comtesse.
‘...Vous n’allez pas vous y mettre vous aussi, en prétendant que vous le pourriez... ?’
‘....Vous oubliez les miracles Georges.... ? Vous en avez un devant vous, si j’en crois la science, et puis Madame SARAH a bien enfanté à 90 ans... ?’
‘...C’est qui encore celle là ... ?’
‘...Celle de la bible, enfin ... ?’
‘...Que vont dire nos enfants... ! S’ils vous voyaient engrossée... ? Avez-vous pensée à cela... ? Et nos petits enfants ... ?’
‘...C’est un cas de force majeur et on ne peut rien faire contre ces cas là.. ! Voilà et puis, il comprendront... ?’ La Comtesse.
‘...Donc, si je comprends bien, dans quelques mois, j’aurai la renaissance de ma sœur Gertrude et puis, un nouveau bébé... ! Vous ne trouvez pas que vous dépassez les limites du bon raisonnement... ? Je vous averti que si vous mettez vos projets à exécution, je pars d’ici... !’
‘...Pour allez où frérot... ?’ Gertrude/Claire.
‘...Vous fuyez mon cher Comte, vos responsabilités... ?’
‘...Je vous fuis Vous et vos délires... ! Un ancien Maréchal de France, qui a combattu sur tous les fronts depuis Charlemagne ne fuit pas devant ce qu’il estime être une aberration... ! Tout cela est de votre faute Gertrude.... ! Oui de votre faute, voilà que mon épouse à présent veut copuler pour enfanter... ! Le Comte.

Le majordome annonce...

‘...Vos enfants et petits enfants sont là Monsieur Le Comte... !’
‘...Ne manquez plus qu’eux, que vont t’ils m’annoncer encore ... ?’


Le fils le Comte Camus et sa femme Noémie entrent dans le grand salon.
Leurs trois enfants, Amandine, Christelle et Bertrand rentrent et courent embrasser les grands-parents.
Le second fils le Comte Vivi et sa femme Jeanne et leurs six enfants font de même.
Freddy, Anastasia, Anne, Bernard, Damien, Sigfrid font de même.

‘...C’est qui celle là Papi... ?’ Amandine la plus âgée des enfants du Comte Camus.
‘...Elle... ? C’est comment le dire... ! Attendez que je réfléchisse... !’ Le Comte.
‘...C’est tout réfléchi Comte, et bien eEEEEElle... ! C’est GertruUUUUde... !’ La Comtesse.

‘...GERTRUDE QUI.... ?’ Tous les enfants et petits enfants en même temps
‘...GERTRUUUUDE... ! C EST CLAIRE est bien claiIIIIre ... !’ Gertrude/Claire.
‘...Claire QuiIIII... !’ Amandine.
‘...Claire est devenue Gertrude!’ Le Comte.
‘...Vous perdez la boule mon cher époux... ! Gertrude est devenue Claire... !’ La Comtesse.
‘...Nous ne comprenons rien... ! Père... !’ Le Comte Camus.
‘...J’ai rajeuni, je suis votre ancienne tante Gertrude... ! Voilà tout ... !’ Claire.
‘...Ca alors, mais comment avez-vous fait... ? Le Comte Vivi.
‘...Et comment allons nous vous appelez à présent... ? La Comtesse Noémie.
‘...APPELLEZ MOI CLAIRE tout simplement... !’ Claire.
‘...Et qu’est ce qu’on fait de tante Gertrude aloOOOrs... ? La Comtesse Jeanne.   
‘...Vous l’oubliez... BASTAAAA...!’ La Comtesse Hélène.
‘...Nous l’aimions si bien tante Gertrude.... ! Christelle.
‘...Elle n’était pas si agréable que cela l’ancienne tante, nous préférons Claire, si jeune, si fraiche si belle et si tendance... !’ Le Comte Vivi.
‘...Merci Comte, pour ces éloges... !’ Claire.
‘...Gertrude... ? Je l’aimais bien Moi... !’ La Comte Camus.
‘...Il faut vivre avec son temps... !’ La Comtesse Noémie. ‘...Soyez la bienvenue chez nous... !Vive Claire Au loin Gertrude... ! Et puis, j’ai de la chance, je ne lui rembourserai pas les 2000 € que je lui dois ... !’

Le Majordome.

‘...Madame la Comtesse Gertrude... !’
‘...EuUUUstache, vous avez encore picolé... ! A ce que je vois... ! Gertrude est là en Claire... !Comment dois je vous le traduire... ! ’ Monsieur le Comte.

Gertrude fait son entrée.

‘...MaiIIIIIs..Qu’est ce LAAAA... ! Je vous croyais... !’ Le Comte.
‘...Qu’avez-vous à faire ces têtes ébahies... ?’

‘................................................................................................................................’ Long silence.

‘...Mais ... Alors ! Vous êtes qui vous ....Claire.... ?’ Monsieur le Comte.
‘...C’est moi... ! Mademoiselle Fanny Braise membre de la Comédie Française ... !’ Claire.
‘...Je vous explique, j’ai engagé Mademoiselle Claire pour vous faire une farce... !’ Gertrude.
‘...Pour nous faire croire que vous Gertrude vous avez rajeuni... ?’ Madame la Comtesse.
‘...Exactement... !’
‘...Nous avons eu si chauds ma sœur... !’ Monsieur le Comte.
‘...Rien qu’à voir vos grimaces... On le devine...! Gertrude.
‘...C’est CLAIR... ! Vos grimaces... ?! Claire.

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